Certains diront « assistante virtuelle », d’autres « assistante freelance », ou même encore « assistante indépendante »… Mais finalement, peu importe ce qu’on mettra derrière le mot « assistante », car, pour moi, être assistante c’est avant tout être un maillon de la chaîne, un de ceux qui accompagne, facilite, soulage.
J’accompagne les professionnels dans leurs projets et les soulage.
J’aime ce métier qui m’offre un champ assez vaste de tâches et peut faire appel à tout un éventail de compétences acquises dans mes expériences salariées passées, de mes aptitudes et de ma sensibilité.
Il s’agit pour moi de m’adapter à votre activité, la comprendre, et savoir aussi être force de proposition afin de trouver des solutions là où vous en avez besoin et vous permettre d’avancer en toute confiance sur ce que vous aimez vraiment faire.
La confiance étant la base de notre relation, cela me paraît évident, nous prendrons le temps d’échanger, de nous connaître afin de construire une relation de travail sereine et agréable.
Il s’agit d’une véritable collaboration « win-win » à mes yeux.
Je suis persuadée que le monde d’aujourd’hui étant en perpétuelle évolution, nous devons aussi faire évoluer nos métiers, nos manières de travailler et c’est pourquoi j’ai choisi de pratiquer mon activité exclusivement à distance.
L’internet et les outils à notre disposition me permettent cette prouesse de pouvoir travailler avec des gens du monde entier, de là où je veux, de là où je suis.
Travailler avec plaisir, apporter mon aide, soulager des professionnels pour qu’ils aient eux-mêmes le plaisir de produire et créer en toute légèreté, c’est ce que j’aime le plus dans mon métier !
L’informatique m’a toujours beaucoup passionnée parce qu’elle offre des opportunités énormes. J’ai beaucoup appris par moi-même et par réel intérêt pour les outils mis à ma disposition en tant qu’assistante.
Pour avoir évolué depuis le début de ma carrière dans des environnements très dynamiques, où nous étions souvent dans « le rush », avec des délais parfois tendus, j’ai pris l’habitude de chercher constamment à trouver l’outil qui conviendrait le mieux pour ce que j’avais à faire, et de manière à ne pas recommencer indéfiniment non plus les mêmes tâches lorsque c’était faisable.
C’est alors qu’un jour, le cabinet d’avocats britannique dans lequel je travaillais m’a proposé d’être « référente IT » en interne, auprès de mes homologues, afin que toutes les assistantes du bureau sache qu’elles pouvaient me solliciter si besoin.
Puis, tout naturellement, lorsque le poste de formatrice s’est ouvert, il m’a été proposé, et je l’ai accepté avec grand plaisir.